Langues à l’école: un quart des parents russes choisiraient le chinois
Selon une étude, le français et le chinois sont pratiquement au coude-à-coude.
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En Russie, près d’un quart (24%) des parents d’enfants d’âge préscolaire souhaiteraient qu’une fois scolarisés, leurs rejetons apprennent la langue chinoise, écrit le journal RBC, se référant aux résultats d’une enquête menée par le centre analytique NAFI.
Ainsi, la langue de l’Empire du milieu ne se place que deux points derrière celle de Molière (26%). Sans surprise, c’est l’anglais qui arrive en tête avec 80% des voix.
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L’allemand, langue massivement enseignée dans les établissements éducatifs soviétiques jusqu’aux années 1970, n’a quant à lui obtenu que 20% des suffrages.
Commentant les résultats du sondage, Timour Aïmaletdinov, adjoint au directeur général du centre NAFI, a souligné que, ces dernières années, le chinois s’est hissé au rang des langues vues comme prometteuses. De plus, si de nos jours l’offre n’est pas aussi importante que pour les trois autres langues mentionnées, la situation pourrait évoluer aux cours des années à venir.
L’enquête a été menée en juillet 2022 auprès de 1 000 parents d’enfants âgés de 1 à 7 ans vivant dans différentes région de Russie.
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